Kevin Morby

Lieu Salle des concerts - Cité de la musique
Tarifs 35 € / 30 €
Placement assis numéroté / libre debout
Handicap moteur Handicap visuel Handicap auditif Personnes à mobilité réduite
La Cité de la musique - Philharmonie de Paris est accessible aux personnes à mobilité réduite. Des places adaptées aux spectateurs se déplaçant en fauteuil roulant sont disponibles dans toutes les salles de concert, sur réservation aux guichets ou par téléphone au 01 44 84 44 84.
La Grande salle Pierre Boulez, le Studio et la Salle de conférence (Philharmonie) sont équipés d’une antenne à haute fréquence.
Les personnes en situation de handicap visuel peuvent demander à être placées le plus près possible de la scène. Le programme de salle en format Word peut être envoyé quelques jours avant le concert, sur demande préalable.
Prêt de matériel (contre une pièce d'identité) aux différents accueils et vestiaires : fauteuils roulants, sièges-cannes, boucles magnétiques « tour de cou », jumelles, lunettes de télévision, monoculaires, loupes, casques anti-bruit. 
Vous rencontrez des difficultés d'orientation ou de mobilité, un volontaire du service civique peut vous accueillir (sur rendez-vous).
Renseignements : handicap@philharmoniedeparis.fr
Kevin Morby  © Chantal Anderson

Kevin Morby

Kevin Morby - un des meilleurs auteurs compositeurs américains de la décennie - déploie un folk ample et riche, porté par une écriture personnelle et un sens de la narration qui font mouche.

Un album après l’autre, une tournée après l’autre, Kevin Morby confirme qu’il est l’un des songwriters américains les plus solides de l’époque, dans le registre pourtant très embouteillé d’un folk imprégné de toutes les audaces de Bob Dylan. This Is A Photograph, son septième album paru en 2022, en est une nouvelle preuve éclatante. Il doit son titre à une photographie figurant son père jeune et vigoureux, découverte le soir-même où celui-ci frôlait le pire suite à un malaise. Pour l’écrire, l’auteur compositeur a passé du temps à Memphis, au plus près des fantômes d’Elvis Presley, Jeff Buckley ou Jay Reatard. Ses chansons portent la trace de cette réflexion sur le temps qui file mais aussi de l’héritage musical de la ville, notamment soul. Claviers, cordes, cuivres et chœurs donnent une ampleur saisissante à ces chansons, nouveau chapitre remarquable dans une discographie où le folk s’est déjà teinté de mille nuances.

Première partie : à venir

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